Books about Concentration Camp of Neuengamme

Amicale de NeuengammeNeuengamme camp de concentration naziTirésias, 2010.

BAUMER René,La misère aux yeux de fou. Notes et dessins de déportation.BGA Permezel. 2004.

BIZIEN JeanSous l’habit rayé, à chacun son destin. Edit. de la Cité. Brest. 1987.

BOUDIER-LACHOT ThérèseMarie-Louise et Thérèse au service de la résistance, Reims, 2007.

BROSSARD Eric et Jean-PierreAlice et Gaston. Un couple et son village dans la guerre. Artenay (Loiret) 1939-1945. Artenay. 1995.

BRUNET PierreLes Martyrs de Neuengamme, le Camp méconnu. Amicale de Neuengamme et Tallandier. Paris. 1975.

COSSU-ALBA Yvonne, Châteaulin-Neuengamme. Aller sans retour pour un camp nazi, Mémoires de Châteaulin, 2007.

DESPRAT Edmond-GabrielTorturés à vie. Fus-Art. Villenave d’Ornon. 1996

DESPRAT MadFemme de déporté (l’autre souffrance). Fus-Art. Villenave d’Ornon. 1998.

DUROMEA AndréAndré Duroméa raconte : la Résistance, la Déportation. Messidor/ éd. Sociales. 1987.

ESPIC FernandMémoires d’un résistant déporté. L’Isle sur la Sorgue. 2003.

ETOC DanielUn enfant dans la tourmente. Souvenirs de guerre d’un enfant de déporté-résistant. Ed. du Petit Pavé. 2001.

GUYON-BELOT RaymondeLe sel de la mine, de Lyon à Beendorf. France-Empire. Paris. 1990.

HOLLARD FlorianMichel Hollard, le Français qui a sauvé Londres, le cherche-midi. 2005.

JANVIER EmileRetour. Histoire d’hier et d’aujourd’hui. Alençon. 1952.

JOANNON HenriRemember ! (Souviens-toi). Aurillac. 1947 ; 1988.

De LASSUS SAINT GENIES RaymondSi l’écho de leur voix faiblit… Syros. Paris. 1997.

LOHEAC PaulUn médecin français en déportation. Les Presses Arc-en-ciel. Gourin. 1988.

MARTIN-CHAUFFIER LouisL’homme et la bête. Gallimard. 1947. Folio n° 2791.

MAURY LouisQuand la haine élève ses temples. Louviers. 1950.

MIGDAL AndréPoésies d’un autre monde. Seghers. Paris. 1975.

MOREY BernardLe voyageur égaré, France-Empire, 1981.

PORTEFAIX RaymondL’Enfer que Dante n’avait pas prévu. Aurillac. 1947 ; 1988.

PRENANT MarcelToute une vie à gauche. Ed. Encre. Paris. 1980.

RENOUARD Jean-PierreUn uniforme rayé d’enfer. Ed. du Rocher. Monaco. 1993.

ROUSSET DavidL’univers concentrationnaire. Hachette, coll. Pluriel. Paris.  1998.

ROUSSET David, Les jours de notre mort. Hachette, coll. Pluriel. Paris. 1993.

RULLIER RobertMémoires d’un survivant, L’Edelweis, Bourg-en-Bresse, 1996.

SALAN GeorgesPrisons de France et bagnes allemands. Nîmes. 1946.

SAUFRIGNON Pierre, Mémoire oblige, Neuengamme. Les dossiers d’Aquitaine. Bordeaux. 2002.

WILLIAM John (HUSS Ernest)Si toi aussi tu m’abandonnes. Ed. du Cerf. Paris. 1990.

“Philipsen est mort, Champion est mort, Stéphane est mort. Ils meurent tous en poursuivant leur rêve de liberté. Quand s’arrêtera la liste funèbre ?”

René Baumer, La misère aux yeux de fou.

“Philipsen is dead, Champion is dead, Stéphane is dead. They all die in pursuit of their dream of freedom. When will the funeral list be finished?”

“Pleurant, agenouillé, j’ai saisi le témoin
Et depuis ce soir-là, j’ai retrouvé ta main”

Daniel Etoc, Le chemin du calvaire. (poème)
“Crying, kneeling, I grabbed the witness
And since this evening, I have found your hand again.”

“Nous sommes pleins d’admiration pour le désir de savoir que manifesta actuellement la jeune génération. Nous espérons qu’elle comprendra notre message, qu’elle le fera vivre et qu’elle le transmettra.”
Raymond de Lassus Saint Geniès, Si l’écho de leur voix faiblit…
We are full of great admiration for the current desire to know of the younger generation. We hope they will understand our message, bring it to life and pass it on.”

“N’y avait-il plus rien à faire, alors on détruisait ce qui était fait pour recommencer. Les SS signifiaient ainsi que le travail des concentrationnaires n’avait pas pour fin essentielle la réalisation de tâches précises, mais le maintien des “détenus protégés” dans la contrainte le plus étroite, la plus abêtissante”.
David Rousset, L’Univers concentrationnaire
” there was nothing left to do, so what was done was destroyed in order to start again. The SS therefore meant that the work of the concentration camps was not primarily aimed at carrying out specific tasks, but at keeping the “protected prisoners” under the most narrow, absurd restrictions.

“J’écris pour témoigner, pour dire la Vérité.”
 Pierre Saufrignon, Mémoire Oblige
“I write for testimony, to tell the Truth.”